Le Crous Aix-Marseille Avignon participe à cette journée en proposant des animations gratuites.
La Journée Internationale des Droits des Femmes
Le 8 mars est la journée internationale des droits des femmes, et pas la Journée de la femme. Tous les jours de l’année, et encore plus aujourd’hui, célébrons les réalisations sociales, culturelles, économiques et politiques des femmes et continuons à lutter pour les droits des femmes !
C’est quoi être une femme en 2023 ?
La semaine dernière, le Crous vous a invité à définir en un mot ce qu’est être femme pour vous en 2023.
Vous avez été 3 423 étudiants à répondre au questionnaire diffusé et nous vous en remercions.
Voici le résultat de l’enquête, sous la forme d’un nuage de mots. La taille des mots étant proportionnelle à la fréquence de citation parmi vos 3 423 réponses.
Partenariat Crous-UMAY
UMAY , l’application mobile contre le harcèlement de rue sera présentée le 8 mars au RU Saint-Jérôme (Marseille) et au RU Les Fenouillères (Aix-en-Provence) de 11h00 à 14h00.
Ciné-débat avec le collectif Noustoutes
Le collectif Noustoutes propose un Ciné débat le 7 mars à Marseille (Cité U Lucien Cornil) et le 13 mars au Théâtre Les Gazelles (Aix-en-Provence). Entrée gratuite.
À travers des projections et discussions, sensibiliser les étudiant.es à divers sujets en lien avec la condition des femmes puis leur apporter les ressources nécessaires pour approfondir les sujets évoqués ensemble.
NousToutes est un collectif féministe ouvert à toutes et tous, constitué d’activistes bénévoles dont l’objectif est d’en finir avec les violences sexistes et sexuelles dont sont massivement victimes les femmes et les enfants en France.
1969 : Création théâtrale proposée par la compagnie Tempis
La Compagnie Tempis propose une création théâtrale le mercredi 8 mars à 20h30 au Théâtre Les Gazelles à Aix-en-Provence.
Présentation du Projet
1969, titre provisoire, un projet né afin de répondre à la demande du Crous Aix-Marseille Avignon, épaulé par son service culturel, pour l’organisation de plusieurs événements publics et étudiants autour de la journée du 8 mars 2023.
C’est l’histoire de Pauline, jeune femme des années 60, ayant 25 ans en 1969. Elle vit seule, isolée du monde. Sa propriétaire ne comprend pas pourquoi elle n’est pas encore mariée. 1969 nous parle d’une rencontre, d’un amour naissant dans la violence, d’avortement, de discrimination, d’espoir et de joie, mais 1969 nous parle surtout d’une société.
Le spectacle, créé pour l’occasion, est une maille dépeignant, par différents chemins, des destins de femmes isolées, formant un tissu sororale d’histoires se rejoignant à la fin. La création passe par un mélange des matières et des supports utilisés. En s’appuyant sur des textes d’autrices, d’archives d’époques et de témoignages, afin de donner naissance à une pièce de théâtre vivante permettant de transmettre un fragment de réalité perdue.
1969, année perdue dans le temps, à mi-chemin entre les révolutions de 68 et la libération des années 70. Une année de tous les possibles. 1969 l’année de la conquête de la lune, d’un grand pas pour l’homme mais qu’en reste-t-il de la femme ? Une année où on dit à la télé que le pantalon leur est interdit et où le patriarcat est la norme. Le spectacle reprend les influences d’une époque, le bon comme le mauvais, sans vouloir chercher ni l’indignation ou l’empathie pour simplement dire les choses. On regarde le passé avec nos yeux du présent, en ayant peur du futur.
Moi c’est Madame – Le jeu qui impose le respect
Ce jeu sera envoyé dans toutes les cités et résidences du Crous.
Moi c’est Madame est un jeu de société convivial, inventé par Elsa Miské et Axelle Gay pour s’entrainer à riposter contre le sexisme, avec humour.
Un jeu de répliques, qui comporte plein de surprises, pour les femmes et les hommes qui souhaitent s’allier pour mater le patriarcat. Mais surtout pour passer un bon moment, échanger et bien rigoler !
220 cartes d’attaques sexistes et des ripostes badass, toutes inspirées du podcast YESSS dans lequel des femmes témoignent de leurs victoires sur le sexisme.